Ce fut une triste journée
Par la maladie affectée
Passant le temps à lutter
Je ne l'ai pas vue passer
Amour qui tant m'habite
Derrière toi je m'abrite
De cette vie qui s'effrite
Avant qu'elle ne m'irrite
Maladie, de pire en pire
Tu étends ton empire
Mais je te vois venir
Me préparant d'en rire.
Voila, je laisse ma colère s'exprimer en agressant la poésie, elle sera ma seule victime, je me sens déjà mieux!
La littérature pour médicament, à mon prochain coup de mou, ce sera la philosophie qui me servira d'exutoire!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire