dimanche 14 janvier 2018

Contestation.

   Suite à une conversation sur la conservation des privilèges garantie aux nantis par notre omniscient pRoisident, j'ai pris conscience du manque de contestations.
   Dans le contexte actuel, on peut faire une constatation que nulle controverse ne saurait contredire, plus personne n'ose même contester les orientations répressives de Louis XIX, dit le gérontophile.
   Il peut agir en toute décontraction, tout le contraire de son prédécesseur, là, il crée le contraste, nous avions un vieux avec une jeune maîtresse, nous avons un jeune avec sa vieille maîtresse!
   Il faudrait trouver le moyen de le contrecarrer, au moins de le contrarier, mais, à-contrario, les médias condescendants n'osent pas le conspuer.
   Devrons-nous conspirer en de discrets conciliabules pour que la contestation gagne toutes les contrées?
   La contraction gagne du terrain, les conditions sont réunies, sans concessions la contestation saura le contraindre.
   Il serait bon qu'il devienne constructeur plutôt que constricteur, mais saura-t-il en faire la constatation?
   Alors, soit nous contestons, soit nous nous contentons des contentions de nos libertés, de nos moyens financiers comme d'un acte de contrition!
   Ce sera notre ultime contribution à la rémunération de nos concitoyens conducteurs, à condition que nous cessions toute contestation contre-productive des destructeurs de notre constitution!
   Pourquoi restons nous à quatre pattes alors que nous sommes constitués pour être debout?
   Et c'est debout que l'on conteste le mieux, sans contestation possible!

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