mercredi 7 septembre 2011

J'aime écrire.

Enfin, je retrouve mon accès internet et, par voie de conséquence, ce lieu où je peux si bien exprimer mes humeurs, sur un clavier mieux adapté à mes doigts que celui de mon téléphone utilisé pour mes trois derniers textes, je ne sais pas si vous imaginez bien l'exploit que cela représente!
Bref, me revoici aux commandes et je vais pouvoir à nouveau vous abreuver de ma prose, tant pis pour vous, tant mieux pour moi! Je dois bien avouer que je prends un plaisir fou à m'exprimer sur ces pages, écrire m'est devenu plus qu'un divertissement, je me suis pris au jeu et je me suis senti frustré pendant ces quelques jours de black out. J'aime écrire, je n'en ai plus le moindre doute et j'ai bien l'intention de continuer à produire, tant que l'inspiration est au rendez vous et, comme ma muse se rapproche à grands pas, nul doute que je vais augmenter le rythme.
Le plus surprenant, dans cette histoire, c'est que je n'ai aucune prise sur mon lectorat, je sais que l'on me lit, mais je n'ai pas la moindre idée de qui vous êtes, pour l'instant vous ne représentez que des chiffres sur un compteur de statistiques, mais vous êtes de plus en plus nombreux, donc vous me poussez, silencieusement, à continuer. Alors j'écris, tout et n'importe quoi, je donne mes ressentis qu'ils soient affectifs ou sociétaux, quelques délires émaillent les pages, permettant de donner une certaine légèreté à ce blog.
Il conviendrait de le changer de catégorie, là je suis inscrit dans "humeur d'actualités", je ne suis pas certain du tout d'y être à ma place, mais, en même temps, je ne vois pas dans quel genre je pourrai classer mes écrits. Pour littéraires que soient mes textes, il serait osé de parler de littérature, pour délirants que soient certains passages, ce n'est pas de la fiction, pour engagés que soient quelques écrits, ce n'est pas de la politique ni du syndicalisme. Peut être aurai je ma place dans une catégorie "naïveté", bien que je ne sois pas certain que tous mes écrits soient si décalés de la réalité.
En fait, je me sens inclassable, mais comme aujourd'hui nul n'a le droit d'être hors catégories, il me faut bien adhérer au système. Puisque j'ai accepté d'être sur internet, je dois admettre d'être catalogué, c'est ainsi que l'espace sensé être le plus grand lieu de liberté nous impose des limites! L'important est de pouvoir s'exprimer, le reste n'est que détails, je veux écrire et ici je peux le faire, je veux être lu et ici c'est possible.
Voilà, j'ai retrouvé mon écritoire et je vais en user et en abuser jusqu'à plus soif, alors n'éteignez plus votre ordinateur, je pourrai bien revenir plus vite que prévu!

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