vendredi 22 juin 2018

Il attire la satire.

   Encore lui, il semble qu'il aime que nous ne l'aimions pas, alors je vais tenter par ces quelques lignes de le satisfaire. Je veux parler ici de notre président qui, après avoir trompé ses propres électeurs, continue allègrement sa politique élitiste.
   Lui-même indigne de notre confiance, il nous demande de nous fier à la générosité des nantis et des patrons pour compenser l'argent dont il nous spolie, juste pour éponger ses propres dépenses et celles de ses prédécesseurs.
   Prompt à donner des leçons filmées par un pur hasard à chaque fois, il vous faudrait Messire président de la république apprendre l'exemplarité. Vous trouverez le sens de ce mot dans le dictionnaire.
   De surcroît, Monseigneur le président de la république, nous vivons toujours en république démocratique, vous seriez donc aimable d'attendre d'avoir rétabli la royauté pour vous comporter de façon aussi dédaigneuse envers vos concitoyens que ne l'eut fait Louis le quatorzième. Vous trouverez les détails de sa vie dans le dictionnaire, si vous prenez le temps de l'ouvrir entre deux (coûteux) voyages.
   Je préfère laisser les sujets tels que l'écologie, où vous vous surpassez, en autorisant les entreprises privées à construire des éoliennes sans le contrôle et les deniers de l'état, comme ça il n'y a que les grosses entreprises qui en auront le monopole et l'assouplissement de la loi littoral leur permettra de les construire en des lieux inadéquats.
   Que dire de la simili indépendance dont la Bretagne sera le laboratoire qui n'est qu'un moyen supplémentaire pour l'état de ne plus rien financer, juste pour que vous puissiez rénover plus que la vaisselle de l'élysée!
   Bon, je ne vous retiens pas plus longtemps, monsieur le président de la république, vous avez des pauvres à culpabiliser,
   manu militari!!!

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