jeudi 13 juin 2019

Des solutions.

   C'est ce qu'il nous faut pour empêcher que la tristesse exprimée précédemment ne devienne pas désolation. Mais les gouvernants continuent de nous faire la promesse de commencer à s'inquiéter d'écologie. Seulement c'est nous qu'ils inquiètent par leurs premières actions qui ne font que nous coûter toujours plus cher, sans que le moindre retour ne se fasse sentir.
   Il en est de l'écologie comme de la politique en général, de nombreuses promesses qui ne sont que rarement tenues, à part taper sur les plus pauvres. Les vaines gesticulations de notre illuminé de président, à part un peu de vent n'apportent rien, il ne semble capable que de soulever les problèmes mais il ne voit que notre sacrifice total et aveugle pour les résoudre. Il est un impuissant, l'âge de sa femme aurait dû nous mettre la puce à l'oreille!
   Il faut que nous, le peuple, agissions en lieu et place des autorités, les mettre devant leurs incapacités à ne pas céder aux sirènes des lobbyistes de tout genre, mais surtout industriel. Il n'y a que par la maîtrise de notre consommation que nous ferons plier tous ces tarés qui ne pensent qu'à leur enrichissement, sans même s'inquiéter de l'avenir de leur propre descendance. De toute façon, à force d'être taxés, démunis par l'état, nous n'aurons plus les moyens que de la solidarité, ils vont nous contraindre à l'humanité retrouvée, ne se rendant pas même compte qu'ils s'autodétruisent.
   Laissons les se noyer dans leur argent, à l'instar d'un Picsou, ce n'est qu'en nous débarrassant d'eux que nous construirons notre avenir.
   Nous devons tous changer nos comportements, ne plus prendre nos véhicules qu'en dernier recours, le covoiturage doit devenir obligatoire. Nous devons mettre fin à cet individualisme automobile qui n'apporte que nuisances, pollutions, embouteillages et manque de place de parking, en plus d'amputer les budgets!
   L'avion doit être banni des moyens de locomotion, prendre le train devient un devoir, il n'y a que nous, citoyens, pour lancer le mouvement. Ce sont nos comportements de consommateurs qui doivent les contraindre à nous entendre vraiment, contraignons l'industrie à s'adapter à nous, plutôt que de continuer d'accepter le contraire.
   Le partage des ressources ne doit plus paraître un caprice mais une absolue nécessité, cesser de les gaspiller doit devenir un réflexe. C'est l'avenir de nos enfants que nous préparons, agissons maintenant pour que ce ne soit pas un avenir sans futur.
 

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