A toi, ma fille aînée, pour toujours aimée,
Mon manque de poésie m'ayant reproché
Tandis que tu fêtais ta vingt-cinquième année
Permets moi de réponse t'apporter
Te voyant sortir de la gare de Dinan
Ô ma fleur épanouie, ma belle enfant
La lumière se fit, mon cœur près d'éclater
A la joie d'enfin te retrouver
Quand, dans les rues nous marchions
Sous les regards d'hommes effrontés
T'admirant telle une sublime vision
Augmentant ma grande fierté
Tes paroles toujours sensées
Tes mots toujours pesés
Me touchent jusqu'au cœur
Éloignant mes ridicules frayeurs
Tu m'as offert deux beaux livres
Pour enrichir mes savoirs
Puis tu es repartie vers tes devoirs
De grande joie me laissant ivre
Toi, ma fille que j'aime
Toi, ma fille qui m'aime
Puissent ces quelques lignes
Sceller notre amour si digne.
Voilà, ma Loulou, un texte si plein de mes maladresses qu'il en est une preuve éclatante de l'amour que je te porte, bisous.
Papa
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