mardi 27 novembre 2012

Un conte qui compte.

   Il était une fois un deux qui se prenait pour un trois, tu ne vas pas couper les cheveux en quatre lui disais sa mère, par tous les saints, si cette histoire s'ébruite on ne fera pas de discours. "On z'en ira douzement", dit son oncle alsacien, très zen mais qu'a tort(ze) (oui, ben, je fais ce que je peux, hein!), Qu'un zouave saisi dit cette  affaire, dis lui :"t'as tort, dis neuf fois que tu en convins".
   Il vint et un jour il jura"vaindieu", alors il vint trois curés, puis il en vint quatre et il vint saint Vinci, alors vint cette femme de vingt huit ans, il en devint neuf. Trente ans plus tard, se mettant sur son trente et un, brossant ses trente deux dents, il alla dire trente trois à son docteur.Sa tente qu'a très mal aux dents, hé bien sa tante ceint l'étole, il en a vu trente six chandelles. Cela va prendre fin, il est temps, cette histoire est un compte à dormir debout.
   Voilà, un conte qui compte, je le raconte à un comte, qui mange du Comté, sans compter. C'est compatible avec l'histoire du container qui ne contenait que des contes, il y en avait tant que l'on ne pu en tenir le compte, alors je me suis accoudé au comptoir et j'ai écouté le conteur, pendant que le compteur tournait car c'était un conteur d'acompte. Je ne vais pas pouvoir continuer longtemps car le temps m'est compté, je suis incontinent! Si le contenu de ce texte ne vous contente pas, c'est que vous avez perdu le contact, peut être êtes vous contaminé, j'espère que vous n'êtes pas contagieux, ne soyez pas mes contempteurs, juste des contestataires. Ne vous perdez pas en contemplation, je ne suis que votre contemporain, j'apporte seulement une petite contribution à l'amour des contes.

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